Jusqu'à quel âge avez-vous considéré les corvées comme des honneurs?

Dès lors que j'ai commencé à considérer les honneurs comme des corvées..

("nous serions honorés de votre présence à - mariage, queue de coq, inauguration, réunion d'anciens de, vernissage - rayer les mentions inutiles..." brrr !)

C'est encore une forme de relance déguisée pour devenir mon esclave ? Ca va te donner l'impression de rajeunir si tu m'obéis au doigt et à l’œil ?

Passe ton chemin avec ton déambulateur made in China et tes varices belges (les seules qui ne naissent pas dans les choux) !

Tu veux venir jouer de la serpillière à Courcité ? Nous servir notre café au lit ?

Je vais demander audience auprès du Grand Batbatheni pour voir si on a quelque chose à te proposer.

Tu fayotais déjà à cet âge là ?

T'étais une précoce dans la laideur pour esquiver la récré et les quolibets des garçons ?

Comme quoi les années passent, et rien ne change vraiment.

Moi aussi quand j'étais en classe, j'esquivais la récréation pour écraser l'orange de l'instituteur sur sa chaise et pisser sur ses fleurs.

Encore maintenant, à condition que le Grand @Batbatheni (Dieu du savoir et de la morue chocolatée) me demande de piquer définitivement une traîne-savates bruxelloise.

J'aurai fait un geste pour sauver la planète.

Depuis que j'ai eu la malchance de te rencontrer (impossible de te croiser dans le couloir, puisque tu fis marche arrière en faisant "bip-bip !"), je considère que rien que le fait de m'adresser à toi est une corvée que je considère comme une horreur.

J'ai pris un coup de vieux en répondant à ta question.

J' ai toujours fait ce qu' on me demandait mais je veillais aussi que mon frère et ma sœur ne soient pas oubliés pour les corvées , très vite j' ai eu ce sentiment d' injustice à ce niveau là en étant le petit dernier à qui on faisait tout faire (DOM)

En conclusion, petit(e) on se fait exploiter pour les lauriers, mais on ne réalise que plus tard...nous avons tous(es) été de bons petits soldats serviables pour, osons le dire, être bien vu...ce n'était gratuit ni dans un sens ni dans l'autre...mais nous ne sommes pas morts, lol..........

je le fus très tôt ! il n'y a pas de joies à en retirer ! ce furent de pures exploitations bien sur. quelles miséres ! et tu n'avais point à effectuer de r^flexion !

Du plus loin que je me souvienne, je n'ai jamais assimilé une corvée à un honneur...

Tu ne lui lavais pas ses culottes, quand même, si ?...

Moi j'étais ravie de faire le lit de mes parents et faire la vaisselle me mettait dans une joie pas possible, ça a dû s'arrêter vers 6 ou 7 ans.