Petite question sur le choix?

j'étais athée et j'ai fait le choix de devenir croyant

j'ai remarqué aussi que la maturité pour faire un choix peut venir très jeune ou jamais

certains n'ont d'autres choix que de suivre les autres (moutons de panurge)

c'est une paresse intellectuelle , car le cerveau est comparable a un muscle , il se développe avec l'exercice

c'est pour cela que l'enseignement développe l'intelligence, a noter que le contraire est aussi valable

donc pour ce qui est du choix notre responsabilité reste entière, sauf bien sur ceux qui sont limité par leur aptitudes a cause d'accident ou maladies touchant leur centre nerveux

le choix ne peut se faire que si on réfléchit aux propositions faites et que si l'on ne se laisse pas influencer par l'entourage

peu importe l'age , nous sommes tous responsable devant nos choix

la chose la plus ville serait que nos choix soit conditionné, dicté, par un élément extérieur a notre propre raisonnement , certains sont fort pour rendre esclave la pensée des autres , mais a qui incombe la faute ?

J'avoue que je me suis éloigné du christianisme vers 15 et vers 23 ans je suis retourné versle 'église non que c'était le meilleur modèle proposé mais c'était celui que je connaissais.

J'en connaissais ses valeurs, ses défauts...j'ai choisis en toute connaissance de cause ! Librement sans pression !

Mais tu as raison a 6 ans nous n'avons ni les connaissances nécessaires ni les capacités intellectuelles pour choisir vraiement librement...

Tout à fait d'accord avec Célin.

J'ai fait plusieurs retraites spirituelles dans des prieurés pour comprendre la vraie signification de la religion catholique, pour connaître Dieu, comprendre pourquoi nous avons été créés, quel est le but de notre vie sur terre. Cette religion est tellement parfaite, logique, limpide, et tout est tellement sain, que je n'y vois que le signe d'un immense Amour.

Bien-sûr que nous faisons tous à un moment de notre vie le choix de suivre ou pas notre religion de baptème, nous ne sommes pas des moutons sous pretexte que nous avons la Foi.

De parent catholique, j'ai été baptisée et éduquée depuis ma plus petite enfance. On ne m'a pas demandé mon avis, j'ai juste suivit sans réellement comprendre. Mais les années ont passé et j'ai vécu ma vie de chrétienne sans difference avec les non croyants.

Il y a maintenant 7 ans on m'a expliqué pourquoi Jésus méritait qu'on l'aime, qu'est ce qu'il a fait pour qu'aujourd'hui je veuille de plein gré faire la difference entre celui qui croit et celui qui ne croit pas !

J'ai fait le choix de suivre Jésus parce qu'Il a la vie et que le monde n'a rien d'éternel à m'offrir si ce n'est la mort.

Ce que Jésus m'offre de plus c'est une vie de paix et d'amour dans une autre vie ! Qu'ai je à perdre en y croyant ?

Je risquerais de perdre gros si je n'y croit pas !

Si on vous propsait un pommier ou un pomme, qu'auriez vous pris?

Je suis convaincu d'avoir fais le bon choix!

Chaque jour que je vis renforce cette conviction.

petite question mais qui est grande !

svp je peux avoir des pouces en bas comme tous les autres !

@ oué ! un pouce en bas déjà, merci,

moi je suis croyant pratiquant libre de mon choix, comme beaucoup de jeunes j'ai eu une période ou je me suis révolté (adolescences) contre les parents la religions et j'en passe mais je me suis aperçu que sans la religion je n'étais pas grand chose et qu'il me manquait quelque chose et que sans ça je n'était pas moi et ce quelque chose en fait ce quelqu'un je l'ai trouvé dans la religion catholique.

Quelles sont les personnes qui ont "faix le choix de cesser de croire à 6 ans"?? On ne peut pas se considérer athée à 6 ans, ça n'a aucun sens.

Je ne pense pas qu'on ait le choix d'être croyant ou pas quand on est enfant. Si l'on est d'une famille catho, on va croire en Dieu, si on est d'une famille musulmane, on va louer Allah, le milieu familiale va très fortement influencer. Ce n'est donc pas un choix.

Par contre une fois l'âge de raison atteint, et si l'influence de la famille n'est pas trop forte, l'enfant, ou l'ado, va débuter ses réflexions. C'est à ce moment là qu'il fera le choix de rester croyant, ou de ne plus croire.

Pour ma part, mes reflexions, m'ont amené à avoir la certitude la plus profonde qu'il n'existe pas de dieu.

une Blonde peut-elle gaver l'oie, farcir l. a. poule et l. a. dinde trompée dans le lait de vache et préparer, une tarte a l. a. courge, et une foie terminer elle sonne l. a. cloche avant de servir?

Quel degré de violence te fais-tu pour accepter par exemple que l'eau bout à 100 ° dans les conditions normales de température et de pression ? De même quelle violence acceptes-tu lorsque tu comprends la signification de E=MC2 ? Ou enfin quelle violence perçois tu au fait que les hommes se sont donnés des lois, bien terriennes pour mener les affaires terriennes de tous ?

Peut-être que ces points là t'aideront à répondre à la question.

Quant à la question du choix, je la considère comme fondamentale. Je suis condamné à choisir. Je ne peux pas ne pas choisir. Soit je suis parfaitement conscient du choix que je pose, et je l'assume sans trop de mal, soit je peux me trouver gêné(e) devant un choix qui s'est posé, un peu à mon insu, sans que j'y ai contribué, avec volonté et détermination. Mais reconnaissant, très vite que c'est mon choix, que nul ne saurait l'assumer à ma place, je suis confronté à la possibilité d'une fuite dans la mauvaise foi. Ainsi, et par exemple, je peux me dire que je n'y suis pour rien, que quelque chose d'autre a choisi pour moi, à ma place. Le fait est que je ne suis pas dupe. Je ne peux pas me mentir à moi-même. Surtout si je considère qu'à chaque fraction de seconde je suis confronté à des possibilités de choix, simplement possibles dans la situation où je me trouve, je ne peux pas ignorer, que la situation est sous mon regard, que je la jauge, que je l'évalue, et que par conséquent, je ne peux pas ne pas choisir. il se trouve que, parmi les choix possibles, je peux décider de fuir, de rompre la situation, par exemple de m'évanouir, de mettre la tête dans le sable etc. Mais je ne saurai éviter de choisir.

La seule manière pour moi, pour nous, d'éviter de choisir, c'est encore de poser le choix ultime de se donner la mort. De fait les cadavres ne sont plus concernés par la question du choix. Seule la mort, marque la limite réelle de ma liberté. Lorsqu'il ne restera de moi qu'un cadavre, je n'y serai plus, et je serai devenu, comme le dit Sartre la proie des vivants. Ils feront de mon cadavre ce qu'ils voudront. Cela ne me concernera plus.

a condition d'être totalement libre de nos choix......mais qu'en est il véritablement? les choix viennent de nos influences parentales amicales et de tous ceux que nous côtoyons reconnaissons etc...sommes nous libre?